D’un point de vue anthropologique, la nourriture est le premier de nos besoins. Néanmoins, comme le dit Roland Barthes (1961), ce besoin est fortement structuré et implique des matières, des pratiques, des usages et des techniques de préparation et de consommation qui s’inscrivent dans un système de différences significatives. En ce sens, on peut bien parler d’une sémiotique des cultures alimentaires – ou, plus en général, d’une sémiotique de l’alimentation. Loin de coïncider simplement avec des besoins matériels ou des processus physiologiques et perceptifs, l’alimentation comprend l’ensemble des activités, des discours et des images qui lui sont associés.
Pour une sémiotique des cultures alimentaires
STANO, Simona
2025-01-01
Abstract
D’un point de vue anthropologique, la nourriture est le premier de nos besoins. Néanmoins, comme le dit Roland Barthes (1961), ce besoin est fortement structuré et implique des matières, des pratiques, des usages et des techniques de préparation et de consommation qui s’inscrivent dans un système de différences significatives. En ce sens, on peut bien parler d’une sémiotique des cultures alimentaires – ou, plus en général, d’une sémiotique de l’alimentation. Loin de coïncider simplement avec des besoins matériels ou des processus physiologiques et perceptifs, l’alimentation comprend l’ensemble des activités, des discours et des images qui lui sont associés.| File | Dimensione | Formato | |
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