L’année 2025 marque le dixième anniversaire de la mort d’Assia Djebar (1936-2015) et le vingtième anniversaire de son élection à l’Académie française (2005). Cette double commémoration est l’occasion de revenir sur l’une des plus grandes autrices d’expression française du XXe siècle. Cet article se concentre sur le premier des romans de Djebar, La Soif, qui a inauguré la carrière littéraire de l’autrice en 1957. Ce roman, moins étudié que le reste de la production de Djebar, offre pourtant plusieurs repères pour aborder l’œuvre de l’écrivaine. Il contient déjà, in nuce, tous les éléments de transgression et de refus de la subalternité que les critiques ont par la suite notés.
« L’ivresse abrutissante de la chaleur et du bleu cruel de la mer ». Une relecture de La Soif d’Assia Djebar
Miriam Begliuomini
In corso di stampa
Abstract
L’année 2025 marque le dixième anniversaire de la mort d’Assia Djebar (1936-2015) et le vingtième anniversaire de son élection à l’Académie française (2005). Cette double commémoration est l’occasion de revenir sur l’une des plus grandes autrices d’expression française du XXe siècle. Cet article se concentre sur le premier des romans de Djebar, La Soif, qui a inauguré la carrière littéraire de l’autrice en 1957. Ce roman, moins étudié que le reste de la production de Djebar, offre pourtant plusieurs repères pour aborder l’œuvre de l’écrivaine. Il contient déjà, in nuce, tous les éléments de transgression et de refus de la subalternité que les critiques ont par la suite notés.| File | Dimensione | Formato | |
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