Je m’intéresse dans cet article aux émotions que nous ressentons lorsque nous lisons une œuvre de fiction. Certains philosophes pensent que notre implication émotionnelle dans la fiction constitue un paradoxe, et implique soit une forme d’irrationalité, soit la participation à un jeu de « faire semblant ». Ici, je soutiendrai qu’une Théorie de l’Objet à la Meinong, en défendant une approche réaliste des émotions liées la fiction, permet de résoudre adéquatement ce paradoxe de la fiction.

Pleurer à chaudes larmes de crocodile.

BARBERO, CAROLA
2013-01-01

Abstract

Je m’intéresse dans cet article aux émotions que nous ressentons lorsque nous lisons une œuvre de fiction. Certains philosophes pensent que notre implication émotionnelle dans la fiction constitue un paradoxe, et implique soit une forme d’irrationalité, soit la participation à un jeu de « faire semblant ». Ici, je soutiendrai qu’une Théorie de l’Objet à la Meinong, en défendant une approche réaliste des émotions liées la fiction, permet de résoudre adéquatement ce paradoxe de la fiction.
2013
1
40
45
59
http://id.erudit.org/iderudit/1018375ar
Fiction; paradoxe; Meinong; émotions.
Carola Barbero
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